Né le 25 décembre 1965 à Kikwit, il grandit à Kinshasa où son grand frère est l'artiste religieux Fr.Patrice . À 12 ans, il chante dans la chorale de l’église protestante de CBZO à Kinshasa. À cette époque, il gagne un concours d'arts martiaux et acquiert le surnom de « Tarzan, le Roi de la Forêt » qui se transformera plus tard en « Roi de la Forêt » ce qui restera son surnom le plus connu
L’album Solola Bien sort en 1999 et il reçoit le disque d’or lors de son concert au Zénith de Paris en 20022 en France.
Bien que connu comme bon stratège,. Avec deux chansons interprétées en solo sans interventions des ses poulains (Ami Kapamgala et Telephone), il est mieux connu dans l'art de s'esquiver dans les concerts pour dissimuler sa peine de reproduire ses propres vocalises.
Bien que connu comme bon stratège,. Avec deux chansons interprétées en solo sans interventions des ses poulains (Ami Kapamgala et Telephone), il est mieux connu dans l'art de s'esquiver dans les concerts pour dissimuler sa peine de reproduire ses propres vocalises.
En septembre 2000, il est le deuxième artiste africain (le premier étant la star Koffi Olomide) à se produire et remplir le palais omnisports de Paris-Bercy devant 17 000 spectateurs.
En juin 2001, il réalise son premier album solo intitulé Kibuisa Mpimpa, un album préparé en cinq ans lequel est qualifié par les critiques[Lesquels ?] de « culturellement et musicalement révolutionnaire », avec la participation d'artistes comme Manu Dibango, Makoma et le rappeur Pit Baccardi. Werrason
y adopte une approche « authentique » de la musique africaine au
travers de laquelle il partage la culture de ses ancêtres avec le reste
du monde[non neutre].
Cette même année, il remporte deux Kora3 au festival international de la musique noire en Afrique du Sud,
notamment celui de meilleur chanteur africain masculin. Il part en
tournée en Europe pendant deux ans avec notamment deux concerts au Zénith de Paris. Il est invité par Manu Dibango à participer à son concert de l’Olympia. Des artistes tels que Passi, Doc Gyneco, Pit Baccardi, Benji (Neg Marron) et Akil lui demandent de collaborer à leurs projets musicaux.
En 2006, Werrason chante à Kinshasa avec l’artiste jamaïcain Shaggy qui le consacre, dans une interview à CNN, « le plus grand artiste africain actuel4. »
Son album Sous-Sol, sorti en 2007, est une première incursion dans le monde de la « World Music ».
L’année 2008 sera marquée par la sortie de son album Temps présent. En novembre 2008, il se produit devant une salle comble au Zénith de Paris.
Finalement fin août 2009, l'album Techno Malewa Sans Cesse Sort Avec
Beaucoup De succès Encore une fois. Depuis 2005, il est nommé L'artiste
le plus populaire de la République démocratique du Congo
après avoir fait un Méga Concert à Kikwit (RDC) devant plus de 700.000
personnes. Le plus grand concert jamais réalisé à ce jour en Afrique et
aussi après avoir 4 fois le Stade des Martyrs en 1998,1999,2001 et 2003
L'homme au cœur immense
Par l'intermédiaire de la fondation Werrason crée en 2000, il vient en aide aux orphelins du Congo. La fondation dispose d'une ferme de plus de 11 000 hectares, qui accueille plus de 400 jeunes gens de 10 à 14 ans5 . L’Organisation des Nations unies (ONU) lui a décerné le titre de Ambassadeur universel de la Paix en 2000.
En 2001, Werrason fut reçu en audience par le pape Jean-Paul II.
Depuis, il dédie également une grande partie de son temps[évasif] aux campagnes de l'UNESCO contre le sida et la discrimination
L’action humanitaire fait partie intégrante de la vie et de la
personnalité de l’artiste. Il n’est jamais resté insensible à la grande
misère des enfants de la rue, les « shegues », qui le considèrent comme
leur père.
Werrason consacre une grande partie de son temps et de ses revenus
aux écoles, aux prisons et aux hôpitaux. Il crée une fondation qui se
consacre aux « shégués »